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  Message capté le 14 janvier 2004  
   

Bonjour Pascalie,

C’est avec plaisir que je prend la plume. Machinalement les mots se remettent à s’inscrire sur cette feuille, alors que nous ne sommes que vibrations.

C’est un plaisir de découvrir cette épatante forme de communication. Cela ne m’était pas venu à l’esprit jusqu’alors.

À voir ces âmes attendre auprès de ton ange m’a intrigué et je me suis empressé de faire la même chose qu’eux.

Cela est chaque fois différent lorsque l’on souhaite communiquer. Cette méthode est assez appréciée des êtres comme moi qui ont la douce nostalgie d’une époque où l’on prenait le temps d’écrire sur une feuille de papier.

Ces ordinateurs ont remplacé le plaisir d’écrire. Prendre une plume ou un stylo entre ses doigts et les laisser glisser sur cette feuille qui n’attend qu’à être remplie d’encre, bleue ou noire, selon l’humeur ou la couleur qu’il nous reste.

Le temps a évolué et les machines commencent à remplacer les hommes. L’amour va-t-il être remplacé par des machines ? Cela se pourrait-il qu’une machine vous séduise autant qu’un adorable être, en chair, en os, avec sa chaleur, sa sensibilité et son caractère ?

Ciel ! Si cela doit être le cas, que l’on ne me fasse plus renaître, je préfère l’amour universel à l’amour charnellement informatisé.

Bravez ces nouvelles technologies pour ne pas qu’elles dirigent votre vie. Restez des êtres humains avec leurs envies et leurs besoins. Avec un cœur qui bat pour l’amour de l’humanité et de Dieu.

Ne devenez pas comme ces machines, froides et impersonnelles. Gardez au fond de vous cette âme d’enfant qui vous apporte la candeur qui vous dépeint. Soyez vrais et sincères.

Vous êtes certainement incarnés pour dépasser de dures épreuves, mais cela fait partie de la vie. Ressourcez-vous auprès de source d’eau ou de la nature. Restez autant que possible un être humain. Ne devenez pas des robots qui suivent la machine infernale de l’évolution technologique. Grâce à vous, des machines peuvent presque avoir une âme.

C’est en paix et dans la joie que je vous écris ces quelques mots. Être dans cet état c’est connaître la grandeur divine.



Soyez attentifs à chacun.

 

Baudelaire

 

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